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La Mahdhara (المحظرة) ‎

La Mahdhara (المحظرة)

En arabe classique, محظرة vient de la racine حظر; liée au fait de « fréquenter un endroit« , notamment un lieu de science, souvent rudimentaire mais riche en savoir.

Principalement sur les terres mauritaniennes, la mahdhara désigne une école traditionnelle où l’on apprend le Coran sans manuel ni écran.

L’élève y mémorise pendant la séance, avec sa professeure.
Elle écoute, répète à voix haute, récite, puis écrit les versets sur une tablette en bois (اللَّوح Al lawh tablette en bois sur laquelle l’élève écrit les versets appris).
C’est ce qu’on appelle al akhdh (الأخذ signifie « la prise » ou « l’acquisition », comme dans prendre directement le savoir).

Ce modèle repose sur la présence active de l’élève pendant le cours, la répétition orale, et une discipline du cœur et du comportement (adab).

Aujourd’hui, alors que beaucoup apprennent seules chez elles, la méthode de la mahdhara nous rappelle une chose essentielle :
Ce qui est bien ancré ne s’oublie pas. Et ce qui est transmis avec adab porte ses fruits.

Qu’Allah nous accorde une science bénéfique

Darataalibat


L’histoire de 3ouzayr عليه والسلام

L’histoire de 3ouzayr عليه والسلام

أَوْ كَالَّذِي مَرَّ عَلَى قَرْيَةٍ وَهِيَ خَاوِيَةٌ عَلَى عُرُوشِهَا قَالَ أَنَّىَ يُحْيِي هََذِهِ اللّهُ بَعْدَ مَوْتِهَا فَأَمَاتَهُ اللّهُ مِئَةَ عَامٍ ثُمَّ بَعَثَهُ قَالَ كَمْ لَبِثْتَ قَالَ لَبِثْتُ يَوْمًا أَوْ بَعْضَ يَوْمٍ قَالَ بَل لَّبِثْتَ مِئَةَ عَامٍ فَانظُرْ إِلَى طَعَامِكَ وَشَرَابِكَ لَمْ يَتَسَنَّهْ وَانظُرْ إِلَى حِمَارِكَ وَلِنَجْعَلَكَ آيَةً لِّلنَّاسِ وَانظُرْ إِلَى العِظَامِ كَيْفَ نُنشِزُهَا ثُمَّ نَكْسُوهَا لَحْمًا فَلَمَّا تَبَيَّنَ لَهُ قَالَ أَعْلَمُ أَنَّ اللّهَ عَلَى كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ ﴿٢٥٩

« Ou comme celui qui passait par un village désert et dévasté: «Comment Allah va-t-Il redonner la vie à celui-ci après sa mort ? » dit-il. Allah donc le fit mourir et le garda ainsi pendant cent ans. Puis Il le ressuscita en disant : «Combien de temps as-tu demeuré ainsi ?» «Je suis resté un jour, dit l’autre, ou une partie d’une journée.» «Non! dit Allah, tu es resté cent ans. Regarde donc ta nourriture et ta boisson : rien ne s’est gâté; mais regarde ton âne… Et pour faire de toi un signe pour les gens, et regarde ces ossements, comment Nous les assemblons et les revêtons de chair». Et devant l’évidence, il dit : «Je sais qu’Allah est Omnipotent »

Selon Ibn Abi Hâtim, Nâjia ibn Kaab rapporta que Ali ibn Abi Tâlib dit que l’homme cité dans ce verset était Ezra…

Mojâhid ibn Jabr dit que ce verset se rapporte à un homme des enfants d’Israël, le village cité ici est Jérusalem.

L’homme passa par le village à la suite de sa destruction par Nebukhadnasr et l’extermination de sa population.

وهي خاوية

« Un village désert »

C’est à dire vidé de sa population.

على عروشها

« Et dévasté »

dont les toits et les murs furent détruits et ramenés au sol. Ezra se tint debout au milieu de ce village réfléchissant sur ce qui s’était passé dans la cité qui avait connu une grande civilisation.

Il se demanda alors :

أَنَّىٰ يُحْىِۦ هَـٰذِهِ ٱللَّهُ بَعْدَ مَوْتِهَا

« Comment Allah va-t-Il redonner la vie à celui-ci après sa mort ? »

car la destruction fut totale et il estimait qu’il était impossible que cette cité puisse revivre à nouveau.

Allah dit ensuite : فَأَمَاتَهُ ٱللَّهُ مِا۟ئَةَ عَامٍۢ ثُمَّ بَعَثَهُ

« Allah donc le fit mourir et le garda ainsi pendant cent ans.Puis Il le ressuscita »

La cité fut reconstruite soixante dix ans après la mort d’Ezra et sa population se multiplia, alors que les enfants d’Israël y retournèrent.

Quand Allah décida de le ressusciter, les premiers organes qui furent ramenés à la vie étaient ses yeux afin qu’il puisse témoigner de l’acte d’Allah, autrement dit comment le Seigneur ramenait la vie à son corps.

Quand la ressuscitation fut complète, Allah lui posa la question (à travers un ange):

كَمْ لَبِثْتَ ۖ قَالَ لَبِثْتُ يَوْمًا أَوْ بَعْضَ يَوْمٍۢ

« Combien de temps as-tu demeuré ainsi ?» «Je suis resté un jour, dit l’autre, ou une partie d’une journée.»

Les oulémas disent que l’homme était mort au début de la journée et qu’Allah le ressuscita vers la fin de la journée et quand il constata que le soleil était encore visible, il crut que le jour ne s’était pas encore écoulé. Il dit :

قَالَ بَل لَّبِثْتَ مِا۟ئَةَ عَامٍۢ فَٱنظُرْ إِلَىٰ طَعَامِكَ وَشَرَابِكَ لَمْ يَتَسَنَّهْ

«Non! dit Allah, tu es resté cent ans. Regarde donc ta nourriture et ta boisson : rien ne s’est gâté »

Il avait des raisins, des figues et un jus et ils étaient encore dans leur état : Ni le jus devint gâté ni les figues devinrent amères ni les raisins devinrent pourris.

وَٱنظُرْ إِلَىٰ حِمَارِكَ

« mais regarde ton âne« 

c’est-à-dire constate comment Allah a ramené ton âne à la vie devant tes yeux.

وَلِنَجْعَلَكَ ءَايَةًۭ لِّلنَّاسِ

« Et pour faire de toi un signe pour les gens »

c’est-à-dire ta ressuscitation.

وَٱنظُرْ إِلَى ٱلْعِظَامِ كَيْفَ نُنشِزُهَا

« et regarde ces ossements, comment Nous les assemblons »

c’est-à-dire comment nous rassemblons les os l’un à l’autre et les ramenons à leur état initial.

Al-Hâkim dit dans son ‘Moustadrak que Ķhârijah ibn Yazîd ibn Thâbit rapporta selon son père que le Messager d’Allah lit ce verset en prononçant le terme arabe avec un z « Nounchizouha ».

Al Hakim qualifia ce Hadith d’authentique,mais Al-Boukhari et Mouslim ne le rapportèrent pas dans leurs recueils. Le terme est également prononcé avec un « r » Nounchirouha » ce qui signifie ramener a la vie comme le dit Mojahid.

ثُمَّ نَكْسُوهَا لَحْمًۭا

« et les revêtons de chair »

As-Souddi dit qu’Ezra constata au début que les os de son âne étaient éparpillés partout à droite et à
gauche, Allah envoya ensuite un vent qui les rassembla de toute part.

L’âne fut alors reconstruit et ses os furent recouverts de chair, de nerfs, de veines et de peau.

Ensuite, Allah envoya un ange qui souffla la vie dans les narines de l’âne et de sitôt ce dernier commença à brayer par la volonté d’Allah. Tout cela se produisit sous les yeux d’Ezra qui s’exclama :

قَالَ أَعْلَمُ أَنَّ ٱللَّهَ عَلَىٰ كُلِّ شَىْءٍۢ قَدِيرٌۭ

« Je sais qu’Allah est Omnipotent »

Source : Tafsir Ibn kathir

Darataalibat

Les anges harout et marout

L’histoire des anges harout et marout (sourate al baqara)

Quelle est la signification de la parole d’Allah Ta’âlâ : {Ainsi que ce qui est descendu aux deux anges Harut et Marut, à Babylone } ?

Question :

Quelle est la signification de la parole d’Allah Ta’âlâ : {Ainsi que ce qui est descendu aux deux anges Harut et Marut, à Babylone } ? Et quel est le sens voulu de {aux deux anges Harut et Marut, à Babylone } ?

Réponse du Cheikh :

Citons le verset entièrement, la parole d’Allah Ta’âlâ :

{Et ils suivirent ce que les diables racontent contre le règne de Sulayman (Salomon). Alors que Sulayman (Salomon) n’a jamais été mécréant mais bien les diables: ils enseignent aux gens la magie ainsi que ce qui est descendu aux deux anges Harut et Marut, à Babylone }

Le terme « Babylone » est indépendant de ce qui vient après, {mais ceux-ci n’enseignaient rien à personne, qu’ils n’aient dit d’abord :

« Nous ne sommes rien qu’une tentation: ne sois pas mécréant » ils apprennent } : c’est-à-dire les gens, {auprès d’eux } : auprès des deux anges ; {ce qui sème la désunion entre l’homme et son épouse. Or ils ne sont capables de nuire à personne qu’avec la permission d’Allah. Et ils apprennent } : les gens ; {ce qui leur nuit et ne leur est pas profitable .Et ils savent, très certainement, que celui qui acquiert [ce pouvoir] n’aura aucune part dans l’au-delà.}.

A travers ce verset, Allah Subhânahu wa Ta’âlâ éprouva Ses serviteurs, et Il – Subhânahu wa Ta’âlâ- fait tout ce qu’Il veut.

Il fit descendre deux anges parmi Ses anges, dans un lieu connu en Irak nommé « Babylone » .

L’un des deux se prénomme : Hârout , et le second : Mârout.

Il les envoya avec une sorte de sorcellerie qu’ils enseigneront ; c’est Allah-Subhânahu wa Ta’âlâ- qui leur a appris cela, ils se sont mis à enseigner aux gens cette sorcellerie mais tout en leur mettant en garde contre celle-ci : {mais ceux-ci n’enseignaient rien à personne, qu’ils n’aient dit d’abord: « Nous ne sommes rien qu’une tentation : ne sois pas mécréant »}.

Parmi ces gens, il y a ceux qui la délaissèrent et qui ne l’ont pas apprise ; et d’autres qui l’apprirent.

C’est le sens voulu du verset.

Et si quelqu’un se demande : comment deux anges peuvent-ils apprendre et enseigner la sorcellerie alors qu’elle est interdite, comme ils (les deux anges) l’ont clairement annoncé : {mais ceux-ci n’enseignaient rien à personne, qu’ils n’aient dit d’abord: « Nous ne sommes rien qu’une tentation: ne sois pas mécréant »} ?

Alors on lui répond : qui est donc Celui qui rend une chose licite ou illicite ? Allah, donc Allah-Subhânahu wa Ta’âlâ- peut rendre licite une chose illicite, ou bien en faire une obligation.

Allah Ta’âlâ a donné l’autorisation à ces deux anges d’enseigner la sorcellerie et dans ce cas précis, cette pratique n’est nullement une désobéissance, ni un acte de mécréance (…)

Extrait des séries de conférences de Cheikh Mohammed Ibn Al ‘Otheymin (RahimahuLLah)

Source : https://alathar.net/home/esound/index.php?op=codevi&coid=63521

Traduit par l’équipe Darataalibat.

Les 3 catégories d’histoires dans le Coran

Les 3 catégories d’histoires dans le Coran

Cheikh Mohammed Ibn ‘Otheymin

Extrait

« Voici les trois catégories d’histoires dans le Coran :

1- Premièrement : les histoires des prophètes et messagers avec leurs peuples (ceux qui ont cru en eux et ceux qui n’ont pas cru), et concernant cela, Allah Ta’âlâ dit :


(Ne vous est-il pas parvenu le récit de ceux d’avant vous, du peuple de Nuh (Noé), des ‘Ad, des Thamud et de ceux qui vécurent après eux, et que seul Allah connaît ?)
(Ibrahim : 9)

Et donc la source fiable de tous les récits rapportés à propos des peuples et communautés précédentes doivent provenir d’Allah et de Son messager (salut et bénédiction d’Allah soient sur lui).
Il y a à travers ces histoires, une immense exhortation : une exhortation pour les croyants mais aussi une exhortation pour ceux qui ont nié.

2- Deuxièmement : les récits de personnes ou groupes d’individus dont leurs histoires comportent une exhortation.

C’est pour cela qu’Allah les a mentionné dans le Coran, telle que l’histoire de Maryam, que l’on trouve détaillée dans la sourate Maryam, cette histoire comporte de nombreuses exhortations, dont parmi les plus importantes d’entre elles : la parole d’Allah Ta’âlâ au sujet de la femme venant d’accouché : (« Secoue vers toi le tronc du palmier: il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. »)
(Maryam : 25) car la femme venant d’accouchant est faible et Sa parole « Secoue vers toi le tronc du palmier » signifie ne secoue pas le haut du palmier mais plutôt son tronc, pourtant secouer le tronc est plus difficile que de faire bouger le haut de l’arbre, (« Secoue vers toi le tronc du palmier: il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres ») : il fera tomber d’en haut des dattes fraîches et mûres, ne diminuant en rien les bienfaits de ces dattes même si elles tombent par terre, elles garderont tout leur aspect comme si un humain les avait cueillies délicatement, n’est-ce donc pas un signe d’Allah?

Une exhortation aux signes d’Allah ? L’être humaine doit voir à travers ceci la puissance d’Allah subhnAllah wa Ta’âlâ.

On trouve également l’histoire de Loqman avec son fils lorsque celui-ci l’exhorte.

Cette histoire englobe de nombreuses fawâ’ids et dont les plus importantes figurent dans la parole d’Allah :

(« Ô mon enfant accomplis la Salat, commande le convenable, interdis le blâmable et endure ce qui t’arrive avec patience. Telle est la résolution à prendre dans toute entreprise !
Et ne détourne pas ton visage des hommes, et ne foule pas la terre avec arrogance: car Allah n’aime pas le présomptueux plein de gloriole.
Sois modeste dans ta démarche, et baisse ta voix, car la plus détestée des voix, c’est bien la voix des ânes. »)

(Sourate Loqman : 17-19)

En effet, toutes ces paroles sont des sagesses !

(…)

3 -Troisèmement : les histoires ou évènements ayant eu lieu à l’époque du prophète (paix et bénédiction d’Allah soient sur lui) par exemple : la bataille de Badr, la bataille de Ohoud et d’al Ahzab, l’histoire avec Bânî Qorayzha, Bânî An-Nadîr, Zay Ibn Al Hârîth, Abu Lahab…

Traduit par l’équipe Darataalibat.

Sources : livre Oussoul fi tafsîr (p57-58) de Cheikh Ibn ‘Otheymin

Site : https://al-fatawa.com/fatwa/14310/%D8%A7%D9%84%D9%83%D9%84%D8%A7%D9%85-%D8%B9%D9%86-%D9%82%D8%B5%D8%B5-%D8%A7%D9%84%D9%82%D8%B1%D8%A7%D9%86-%D8%A7%D8%A8%D9%86-%D8%B9%D8%AB%D9%8A%D9%85%D9%8A%D9%86

Qui était Dhul Qarnayn ?

Qui était Dhul Qarnayn ?

ذو القرنين ملك صالح

الشيخ صالح بن فوزان الفوزان

سؤال من ذو القرنين الذي ورد ذكره في سورة الكهف في القرآن الكريم؟ وما هي قصته؟

 جواب ذو القرنين ملك صالح في أول الزمان، ملك المشارق والمغارب، كما ذكر الله خبره في آخر سورة الكهف، بلغ مشرق الشمس وبلغ مغرب الشمس، وكان يجاهد في سبيل الله ويدعو إلى الله، وبنى السد بين الصدفين، وهو سد يأجوج ومأجوج لأن هذه أمة خبيثة تفسد في الأرض لو تمكنت من السير فيها، والله عز وجل أعان هذا العبد الصالح وهذا الملك الطيب، فأقام هذا السد العظيم الذي حال بين هذه الأمة الخبيثة وبين الانسياح في الأرض، إلى أن يأتي وعد الله عز وجل عند قيام الساعة، فيندك هذا السد ويسيح هذا الخلق المفسد في الأرض، ويحصل فيها ما يحصل مما ذكر الله سبحانه وتعالى. قَالَ هَذَا رَحْمَةٌ مِنْ رَبِّي فَإِذَا جَاءَ وَعْدُ رَبِّي جَعَلَهُ دَكَّاءَ وَكَانَ وَعْدُ رَبِّي حَقًّا وَتَرَكْنَا بَعْضَهُمْ يَوْمَئِذٍ يَمُوجُ فِي بَعْضٍ وَنُفِخَ فِي الصُّورِ فَجَمَعْنَاهُمْ جَمْعًا. 

[الكهف: ٩٨، ٩٩]

الحاصل أن ذا القرنين ملك صالح مجاهد داعية إلى الله سبحانه وتعالى وأن الله مكن له في مشارق الأرض ومغاربها، ووسع له الملك في الأرض

Dhul Qarnayn : un roi vertueux.

Cheikh Salih Ibn Fawzân Al Fawzân.

Question : Qui est Dhul Qarnayn, celui qui est cité dans le Noble Coran dans la sourate Al Kahf ? Quelle est son histoire ?

Réponse : Dhul Qarnayn était un roi vertueux parmi les premiers peuples, un roi puissant qui conquit l’Ouest et l’Est comme mentionné par Allah à la fin de la sourate Al Kahf.

Il atteignit l’Ouest et l’Est combattant dans le sentier d’Allah, appelant à l’adoration de Celui-ci.

Il construit une barrière entre les deux montagnes (un mur séparant Gog et Magog, un peuple très mauvais qui commettait des turpitudes sur Terre), afin de les empêcher de la franchir.

Allah –‘Azza wa Jalla – a accordé Son aide à ce noble serviteur et roi pieux, lui permettant de bâtir cette immense muraille empêchant ce peuple immonde de propager le désordre sur Terre, jusqu’au moment où viendra alors la promesse d’Allah , le jour où l’Heure retentira, Il nivellera le mur et ces créatures déferleront sur Terre, il se produira alors ce qu’Allah a informé dans Sa parole :

Il dit:

« C’est une miséricorde de la part de mon Seigneur. Mais, lorsque la promesse de mon Seigneur viendra, Il le nivellera. Et la promesse de mon Seigneur est vérité.
Nous les laisserons, ce jour-là, déferler comme les flots les uns sur les autres, et on soufflera dans la Trompe et Nous les rassemblerons tous. »
(Al Kahf : 98-99)

Quoi qu’il en soit, Dhul Qarnayn était un roi pieux appelant avec ferveur à l’adoration d’Allah -Subhânahu wa Ta’âlâ- et a qui Il octroya la puissance sur Terre d’Ouest en Est et élargit son royaume sur Terre.

Source : https://al-fatawa.com/fatwa/123554/%D8%B0%D9%88-%D8%A7%D9%84%D9%82%D8%B1%D9%86%D9%8A%D9%86-%D9%85%D9%84%D9%83-%D8%B5%D8%A7%D9%84%D8%AD-%D8%A7%D9%84%D9%81%D9%88%D8%B2%D8%A7%D9%86

Traduit par l’équipe Darataalibat.